samedi 30 novembre 2013



Coucou, c'est nous !
 
 
 
En différé Gran-Canaries :
 
 
 
 
Avez-vous déjà mangé de la chèvre ?
 
 

 
Dans la famille restaurateur, le grand-père !
 
 



La vie est belle, en pyjama nos mousses farnientent ...
 
 
 
Pour Titou cette pièce de bois est une bôme, marin de fils on n'est pas des bœufs !  

 
 
Allez à la vôtre, Coca servit  à la mode Marocaine !
 
 
Le texte du Pitaine épuré orthographiquement par Laurent
 
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                                                     20°19' N
                                                     18°25' W  4eme jour de mer entre Gran Canaria et Dakar
 
 La tartine de Papa sur Gran - Canaria.
 
 Les enfants sont ravis de retrouver l'équipage du «  Robin Home » leurs copains de  Péniche puis Lisbonne mais franchement désenchantés de découvrir une petite Europe avec tout ce qu'ils voient chez eux en France comme les grands magasins des mêmes enseignes et Mc do qu'ils ne me demanderont même pas.
Nous retrouvons également l'équipage de «  BLUE JEAN »( avec Marcel), le catamaran IVADEL                     qui nous invite à dîner et apprend aux gars à faire des pizzas.
Quand bien même Graciosa nous a servis de tremplin, la différence avec le Maroc est saisissante pour les enfants.
L'effet est à peine différend pour moi. C'est incontestable, les femmes ont retrouvé des formes mais ont perdu le plus souvent par la même occasion bien du charme. Si je m'arrête aux yeux, ils ne reflètent dans les miens rien d’atypique, de mystérieux, de séduisant quoi. Pour le reste, la démarche comme le regard ou les attitudes dégueulent parfois tant de vulgarité qu'on en oublie de voir ce qui est censé donner un large avantage aux porteuses. Sans parler du verbe qu'il vaut mieux parfois ne pas comprendre. 
Côté matériel bateau, Gran Canaria est l'escale technique par définition, on y trouve tout, les commerçants n'ayant pas peur des gestions de stock et l'introuvable arrive sous 48 heure maxi de Barcelone qui pratique visiblement l'identique politique commerciale.
Sur ce sujet nous avions profité au Maroc de la dextérité des artisans, notamment pour la couture à des prix imbattables. Ici, c'est l'achat de matériel avec notamment l'acquisition du système A.I.S. Ce dernier a pour mission de détecter tout navire muni du même système, l'identifier, pouvoir lire sur écran d'ordi beaucoup moins énergivore que le radar, sa vitesse, son cap, et calculer instantanément une éventuelle route de collision. La totalité des navires de commerce comme les cargo et pétroliers en sont équipés mais aussi la grande majorité des voiliers de plaisance naviguant au large. La cerise sur le gâteau est que l'on peut programmer une alarme d'approche, ce qui a pour effet de multiplier par 2 votre sommeil durant les quarts de nuit ; intéressant non ? L'acheter c'est bien vous l'avez compris mais l'installer lorsqu'on a les compétences informatique de Pascal et qu'un pro vous demandera le double du prix d'achat pour le faire sans garantie de résultat car le système n'est pas conçu pour être reçu par Windows 8, ce n'est même pas la peine d'y penser. Pas la peine sauf si vous avez un sacré copain qui s'appelle Marcel et qui se trouve à proximité, vous me suivez si vous m'avez lu précédemment !? ? Merci Marcel, tu es vraiment un champion  !!!
 
Gran Canaria est aussi l'escale ou l'on croise le plus de bateaux stoppeurs. Cette année, ils me donnent l'impression de sortir tous de l'usine « à papa », qu'ils viennent de boites à bac coiffés de  cheveux en dread, les bras grandis trop vite pour le restant de leurs jeunes corps pas réveillés, ou de grandes écoles supérieures avec de grands projets humanitaires ou écologiques qui tiennent debout lorsque vous les écouter mais qui peinent cependant à convaincre les vieux cons comme moi.Je trouve tout ça, c'est plutôt très sympa. Voir que l'aventure perdure bien que l'on sente qu'elle puisse être épaulée financièrement au moindre soucis par les parents, que le tel portable a remplacé l'hypothétique appel en P.C.V et le sac à dos en toile viré pour des équipements griffés des marques utilisées par les pro de sports extrêmes.  Parmi eux et à moindre échelle, nous rencontrons Alice et Théo qui ne sont pas arrivés par avion mais ont été embarqué à Lisbonne par nos amis du catamaran CYRANO jusqu'ici via Madère. Puis ont séjourné à bord du BLUE JEAN en dépannage de logis mais sans promesse d'embarquement pour atterrir finalement à bord du FREE MOUSS eh oui ! Pas de possibilité d'embarquement non plus mais à notre bord on ne demande pas d'argent, seulement 4 heures par jours de cours à mes deux premiers de la classe contre le gîte et le couvert ; Ne rigolez pas, je demande beaucoup mais ça mange bien un jeune de 21 ans d'1,85m ! C'est aussi et surtout un véritable plaisir de ne rien jeter croyez moi et en plus ils ne boivent pas, ( me disent aussi ne pas fumer.) L'entente fut parfaite et a sûrement aussi fait du bien socialement aux gars de voir d'autres têtes à bord . Nous avions convenu une semaine, nous avons poursuivis trois jours de plus en attente du bateau qui les embarque enfin.  Fille d'institutrice et fils d'artiste, ces jeunes ont d'eux mêmes prolongé les cours au restant de la journée avec juste ce qu'il faut de pédagogie et rigueur, attentifs et très respectueux des habitudes du bord, ils ont même réussis à nous en faire changer deux ou trois tout en douceur et à notre bénéfice ! Bravo, c'était pas gagné avec nous !
Nous avons donc passé l'essentiel de notre temps à bord et n'avons donc pas franchement exploré l'intérieur des terres. Une fois tout de même, nous avons loué une voiture durant 2 jours et sommes allés à Arguénéguin, village authentique de pêcheurs. Là, sur le port, un beau bateau retient mon attention. Il me semble bien reconnaître cette Goélette sans en être vraiment certain. Un type travaille sur un autre bateau un peu plus loin, je lui demande s' il connaît ce bateau, quel en est le nom car il n'apparaît pas sur la coque. Il me répond alors en Français « Mais bien sûr Pascal.... » 
Ravi et tout autant surpris que mes enfants de revoir Jean-Pierre après quand même 13 ans sans se donner de nouvelles !
 
Le lendemain, nous partons dans les montagnes. Plus on monte, plus la végétation devient présente et nous fait remarquer qu'elle nous avait manqué. Il reste encore quelques cultures maraîchères et vinicoles disséminées ici et là sur de petits espaliers comme l'on voit fréquemment à Madère. Plus haut encore, je retrouve avec plaisir un petit restaurant complètement perdu dans lequel j'aimais venir le dimanche savourer de la chèvre dont la sauce maison aurait certainement changé le destin de Blanchette si seulement Monsieur Seguin l'avait goûté.
 
Nous retardons notre départ vers le Sénégal afin d’éviter de se trouver confondu au milieu de la course de  « l'arc » qui rassemble 270 bateaux de croisière de Monsieur tout le monde.
Le genre humain m'étonne régulièrement pour atteindre à cette occasion son paroxysme :
Comment peut-on apprécier la mer avec ce qu'elle représente d'exceptionnel, d' insoupçonnables découvertes du milieu comme de soi-même et pourtant payer de forts droits d'entrées et tout mettre en œuvre pour recréer le plus fidèlement possible ce qu'ils avaient pourtant la chance de quitter temporairement qui plus est ?
 
Chacun son trip … !
 
Partir en même temps qu'eux signifierait pour nous alors abandonner les précieuses mélodies silencieuses de la mer pour assister aux conférences des incessantes vacations radio, devoir tenir une veille bien plus présente et quitter une vue vierge sur tout l'horizon pour approcher les embouteillages citadin. Et si c'était ça qu'il leur manquait ?
Ou bien les voisins de paliers ?
Déjà à terre, les entendre frôle le fou rire ; arrivés pour beaucoup en même temps, aucun ne semble avoir pourtant eu là-bas, au LARGE, la même météo ! Têtes hautes et poitrine bombées, les mâles ne vanteraient pas autant les qualités de leur fiers navires et leurs innombrables équipements électroniques, souvent doublés, que s'ils parlaient de la longueur de leur attribut lors de l'apéro dinatoire qui les attends tous ce soir !
Le jour de leur départ est enfin retardé de 24 heures car la météo annonce des vents soutenus de 25 nœuds !!! ça promet du travail pour les convoyeurs sur la route du retour, bien plus nord et par voie de conséquence plus dissuasive.
Nous aurions pu profiter de cette accalmie pour nous glisser entre leur dépression humaine mais nous préférons rester pour notre R.V skype avec l'école de Bangor avec qui nous correspondons de plus en plus régulièrement. Voir les enfants se retrouver ainsi est vraiment sympa et émouvant, comme quoi le progrès a bien évidement du bon !
 
 
Vous pensiez être peinard ! raté ...
c'est l' heure des réflexions de Pascal :
 
6 fautes  en progrès
 
 
 
 Petites thèse et antithèse
 des remarques reçues sur mon mail perso !
 
 Comme vous pouvez être indulgents, sympa et encourageants, c'est un plaisir de vous lire ! Dans certaines de vos remarques, j'y trouve également des suggestions tout à fait pertinentes qui méritent d'être évoquées directement sur le blog, bon sang !!! Vous êtes si timides ???
Alors je vais vous répondre non plus sur votre messagerie perso  mais directement sur le blog plus ou moins individuellement puisque vous partagez parfois les mêmes sentiments.
Alors, je commence par qui ?
Entendez-vous dans vos campagnes mugir le générique de « mission impossible » ?
N'ayez crainte !
En résumé, en commençant par les dernières :
-Il n'y a pas suffisamment de photo de mer et pas assez de commentaire sur celles mises en ligne.
 
        Je me défile et transmets le message à Laurent qui publie environ 40°/° des photos que je lui envoie et 1/3 des commentaires les concernant. Euh, les photos de mer c'est de ma faute et le reste aussi car je lui refile tout le boulot mais si je rajoute qu'il ne corrige même pas mes fautes d'orthographe, j'ai peur de me faire virer !
Certaines photo doivent se passer cependant de commentaire je pense, comme celle de la charrette menée par une mule qui porte un taud publicitaire sur l'imagerie numérique non ?
 
 
         Je dirai que 10°/° d'entre vous pensent que j'écris des textes trop longs, 30°/° que c'est bien mais pas assez régulier et en retard et le reste ne se prononcent pas (en suggestions) ;
        Je répondrai aux premiers que je leur passe bien des détails par peur de vous ennuyer et que je note à part le reste pour mes enfants afin de «graver des souvenirs » qu'ils pourront lire plus tard car n'est-ce pas pour eux tout d'abord que nous partageons cette aventure ?  C'est également un support pour François Puget, tout aussi modeste que grand historien maritime, créateur notamment du chasse-marée et du tout premier concours du même nom visant à rassembler des voiliers traditionnels, de travail comme de plaisance et qui deviendra immédiatement ce que nous connaissons tous : BREST 92,96 …. Figurez-vous que ce bon-homme, (j’insiste sur le trait d'union) a proposé aux gars de raconter leur périple en dehors de la vision des parents et pourquoi pas de les éditer eux même s'ils se donnent la peine d'écrire quelques lignes très régulièrement sur leurs aventures. Nous nous y attachons François.
        Aux seconds, je réponds qu'ils ont résolument raison, je vais faire un gros effort c'est promis bien que vous n'ayez pas idée comme on peut être débordés en voyage prolongé ! Blague à part, c'est souvent en mer, la nuit, au cours de la navigation suivante que je tape l'escale précédente, ceci explique un peu cela ?
 
Enfin une remarque quasi unanime :
        Les enfants n'écrivent pas sur le blog, on aimerait connaître leurs émotions, comprendre leur regard.....
        Leur réponse sic dixit : « Ben ils nous demandent rien à nous, c'est toujours à toi et on les voit jamais sur le blog, sinon, nous on répondrait ! »
 
Alors à vos plumes en direct mes amis ! Et merci à tous du fond du cœur, on vous aime !
 
   Freemouss team
 


 tableau marie Jeanne Lorenté
 
Laurent prend la parole pour vous faire un Coucou de la famille Mar(r)ec rencontrée par hasard
 à Pont-Aven, hier soir !
 
Clin d'œil !
 
 
 
Lo                                @+
 
J'ai laissé 2 fautes d' ortho, il faut les retrouver ...
 

 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 

 
 


jeudi 21 novembre 2013

 
 
 
Bons Mousses, Bon Capt'ain,
ils sont arrivés (les doigts dans le nez) à Hann,
petit village de pêcheurs en baie de Dakar !
 
 
 
 
Tout va bien !


mardi 12 novembre 2013

 
Bon le fil reprend en flash back : Essaouira ! Relire aussi la page de Safi avec l'ajout du texte de Pascal !

                                      
                                                Il ne fallait pas se faire de soucis !





                                                             

                                                                     Un four



                                   Rencontre avec une famille Marocaine !

 
 
Et enfin un minaret ...
 
 
 
Maintenant le mot ( enfin les mots) du chef :
 
 Essaouira
 
Ah qu'il est doux de pouvoir mouiller sur ancre à l’abri des  corrompus . Les douanes, très fières de me montrer leur nouvel ordinateur ( écran noir et blanc qui prend un tiers du bureau) affiche une certaine satisfaction à me faire remarquer mon nom sur l'écran avec mes précédents voyages dans leur pays, les lieux d'arrivées et de départs, sans même remarquer que le dernier date d'avant hier.. !
 
Également port de pêche de bien moindre importance que Safi mais tout aussi sale et parsemé de pièges pouvant blesser, je vois mon Yoan tester les barreaux d'une échelle avant de l'utiliser, regarder ou il pose ses pieds, se retourner pour calculer par ou va passer un véhicule bref, mon Yoan devient  moins imprudent, qui l'aurai cru ?
Quand à mon Titouan d'un naturel prudent, lui s'émancipe. Il hésite moins devant les obstacles, les contourne naturellement sans plus s'émouvoir. Dès que l'on passe devant un atelier, il s'arrête observer les gestes du travailleur et admire les techniques de réparation, questionne oubliant sa timidité et comprend.
Enfin les deux apprennent très vite à marchander. Les boutiques sont minuscules et très chargées ; un minuscule  passage sépare les articles au sol comme aux murs et plafond. Yoan demande de descendre un sweat, le vendeur s'empresse de monter sur son escabeau mais Yo lui précise « non le prix il faut descendre »
Les deux gars ont une technique d'approche redoutable : ils commencent par traîner devant puis touchent puis demandent le prix, ne répondent pas lorsqu'on leur donne et commence enfin à marchander, proposent leur prix qui n'est pas accepté. Ils tournent donc les talons en disant que c'est pas grave, font mine de partir, le vendeur revoit à la baisse sa dernière proposition mais rien n'y fait, ils vont réfléchir disent ils. Ce que la culture des arabes ne semble pas comprendre et le vendeur finit par lâcher. Et là vous voyez deux visages se fendent d'un sourire vainqueur !
 
Je ne m’étendrai pas sur la ville et médina certes très belles mais aussi très touristique et Française.
Toute aussi dépaysante mais pas franchement authentique. L'avantage est d'avoir très facilement accès à internet et nous pouvons enfin échanger en direct sur skype avec l'école de BANGOR à Belle île. Les gars sont ravis bien qu'il ne sachent pas trop quoi dire au début ! Ils étaient ému après coup et en on parlé longuement. J'en profite pour remercier Estelle pour toute la doc qu'elle nous a laissé et qui nous sert de temps à autres pour revoir ce qui a déjà été vu l'année précédente. Ces cours bien détaillés sont un super accompagnement.
Nous partons en bus au marché de ??? distant d'une quarantaine de km et qui réunit à lui seul toute sorte d' artisans, commerçants, bouchers, éleveurs et agriculteurs.
Le surlendemain, nous louons une voiture et partons ….à l'Est.
20 km d'autoroute et on tourne à droite, c'est tout, on roule sans savoir ou l'on va ce qui nous mène1 heure plus tard dans un bled ou personne ne parle Français, ou l'on ne peut se restaurer qu'en achetant une banane ici une tomate et du pain là...
Nous décidons de nous enfoncer plus haut dans la montagne et découvrons un douar dominé par une petite mosquée. Nous apercevons deux personnes qui s'éloigne à notre approche, une petite fille qui s'empresse de fuir à notre vue puis nous entendons « Bonjour ». Espali qui parle un parfait Français (le seul) s'approche de nous, nous remercie de lui donner l'occasion de nous accueillir en nous expliquant que sa famille entière vit ici, répartie en une dizaine de maisons soit une quarantaine de personnes. Nous le suivons chez lui ou ils nous présente rapidement sa femme, sa sœur, frère, et enfants avant de nous installer dans une petite pièce. D'autres femmes sont là mais restent à l'écart, quelques phrases sont visiblement ordonnées à diverses personnes et le thé arrive.
Nous discutons une petite heure en présence de la sœur et du frère puis une femme arrive avec un récipient recueillant l'eau qu'elle nous verse sur les mains. Que se passe t'il ? Nous nous exécutons, les gars sont bouches bées, calmes sereins. Un grand plat arrive sur la petite table centrale ! Nous nous regardons avec un sourire, nous sommes tous trois ravis et ému de ce qui nous arrive.
J'imagine déjà une semoule cuisinée comme jamais je n'en ai goutté et à l'ouverture du couvercle, un magnifique COUSCOUS apparaît recouvert de....frites !
Qu'à cela ne tienne, c'est encore plus émouvant d'avoir voulu nous faire plaisir aussi de cette façon. Nous sommes seulement 6 à nous attabler et piocher à la main dans le plat. Notre hôte pousse régulièrement les plus beaux morceaux de viandes vers nous...
Pour finir, toute la famille nous rejoint.
 
 
 
Traversée Maroc-Canaries :
 


30 nœuds  de vent !
 

 

 
 
Cargo au raz des fesses !
 
 
 
 
Les Canaries : La Graciosa
 

   
GRACIOSA :
Petite île montagneuse, dont les rues sont sableuses, on y trouve la playa Francesa, où tous les bateaux mouillent ou alors on cherche un abri potentiel sur la carte à l'écart de la foule et on découvre un petit coin de paradis abandonné par un promoteur, rien que pour nous !!!







 
 

 
 



Le paradis !
 

 
 
Le bonheur !
 
 
 
 
 
Demain nous partons, un bord direct vers le Sénégal,
soit 9 à 10 jours de mer !
Vents faibles en prévision et obligation contourner par prudence la Mauritanie, soit en gros 920 mille à parcourir !
 
@+ Titou et Yoyo
 



 

 

mercredi 6 novembre 2013

Enfin des nouvelles pour vous rassurer !


Du Maroc à La Graciosa aux Canaries ...

Peu de liaisons, pas de photos, mais tout va bien !

Une carte pour vous éclairer :


 

     Donc déjà deux étapes

                        + de nouvelles si internet le veut !!!