Catalina, Luperon, Castillo, Isabella ( rep dom)

Ile de Catalina avec nos amis du Cyrano avec qui nous continuons nos escapades

 En route pour Luperon

  Peur que sa prise reparte à l'eau, Yoan achève sa prise à coup de manivelle de winch !

Le musée d'Isabella où Colomb revient avec 17 bateaux et 1500 hommes pour y construire la première cité en Rep Dom. Beaucoup mourront de Malaria .

 Nous participons à un triatlon local. Titouan est le meilleur des blancs.

 RE musée

Lorsque le pont n'est pas terminé....

Combat de coqs

 Le Cyrano est repartit pour les Bahamas, nous restons encore quelques jours

 Radis, un cubain échappé qui nous charge d'aller voir sa famille dont il n'a pas de nouvelle depuis 6 ans

Yoan a toujours un tee-shirt à cause de sa brulure guérie depuis longtemps mais ne doit pas être exposée au soleil

 Titouan au premier plan se confond parfaitement aux Dominicains

 Toujours plus haut ( sécurisé par harnais) Yoan

 Ou toujours plus bas ! Ici avec un compresseur en surface et un tuyau... Sécurisé par Olivier, pilote de ligne et plongeur avertis !!! Titouan aussi participera un peu moins profond

La Romana et Santo Domingo

    La remontée en annexe du rio de La Romana

 L'accueil des Dominicains nous surprend à chaque occasion par sa gentillesse même ici le long du bidonville

   Il est vraiment temps d'arriver !!!

Echanges de mails avec le Cyrano qui change un peu son programme pour venir nous retrouver à La Romana. Nous allons visiter la capitale ensemble

Soana et Romana Rep.DOM 1ere partie

Nous atterons sur l'île de Soana juste avant la nuit dans un paysage caraibien. Nous sommes le seul bateau de plaisance. Un uniforme nous guette à terre mais devra attendre le lendemain matin pour nous dire d'aller faire notre clearance d'entrée à la Romana car, comme bien souvent dans ces pays, les douanes n'ont pas de bateau. Je le savais et voulais laisser profiter les gars de la soirée au mouillage et m'éviter une demie nuit en mer.

Le port de la Romana est situé dans un fleuve barré de deux ponts, ( l'un ferrovier et l'autre routier ) dans lequel nous ne pouvons pas accèder. Son entrée encombrée par un cargo et un ferry est exposée aux vents dominants donc rouleur et notre ancre aura bien du mal à trouver son accroche sur ces fonds rocheux aussi lisses qu'une dale de béton.

Ici, les douanes ont un navire d'intervention en mer trop imposant pour nous accoster. Nous allons à leur rencontre pour effectuer les formalités. Malgré de longues négociations et un barracuda pêché en mer en cadeau, je devrais m'acquitter, (remises incluses) de 153 dollars américains entre l'immigration, la police maritime et les douanes. Les personnes qui me connaissent bien devinent mon humeur du moment, alors, lorsqu'il s'agit de placer tout ce beau monde sur notre annexe pour la visite de curiosité de notre bord ; fatalement les plus zélés se retrouvent assis où ils ont le plus de risque de se retrouver cul trempé. Un clin d'oeil entendu à Titouan qui barre avec une dextérité certaine fait le reste. Le retour exigé en deux rotations et sans ma présence pour allèger d'autant la frèle embarquation n'aura pas moins de succès que l'allée. Na !

                                           Soana où nous ne pourrons rester mais reviendrons 1 semaine plus tard

                                               En route pour la Romana

La canne à sucre est omniprésente et toutes celles qui tombent du train ne sont pas perdues pour bon nombre de pauvres qui s'en nourrissent.

                           Les autorités repartent à terre...

                                             Un barracuda pêché en haute mer n'est pas porteur de la Ciguatera . Par prudence, nous préférons l'offrir à nos amis douaniers !