Dernière Dorade pêchée par Titouan qui met quelques gouttes de rhum dans les branchies afin d'immobiliser sa bête.
Le pain frais presque journellement, un luxe auquel s'applique Yoan
Titouan bricole une maquette...
Construction d'un phare
L'arrivée à Flores c'est aussi deux nouveaux copains
énième révision du gréement dormant; cette fois par Titouan qui prend de la hauteur..
Papa change une ampoule électrique en tête de mat, tous les rivets de barre de flèche...
Et on repart avec pas mal de près
Le nerf de chute s'est déchiré, un pince étau le remplacera pour le restant du voyage. Les voiles sont très fatiguées.
Beaucoup de circulation entre les cargos et les navires de pêche, c'est aussi le bonhomme qui fatigue par des veilles de plus en plus accrues à l'approche du golf de Gascogne
A environ 5 jours de l'arrivée, il n'y a plus besoin de demander de faire le point. Titouan, qui, comme chacun sait adore l'école, montre pourtant un intérêt régulier et sans faille à nous positionner et chercher le plus court chemin pour rejoindre nos côtes alors que nous rencontrons des vents contraires.
C'est mieux vent arrière
Enfin l'arrivée à Rosbras avec un comité d'accueil qui nous comble de joie !
Non non, je jure que je n'ai pas importé !...
Oups ! c'était la fin de la pomme de toulinne
Un grand merci à vous trois, pour votre bel exemple de courage et de curiosité, autement dit pour votre intelligence. J'apprécie beaucoup que tu m'aies cité Pascal, ça me fait chaud au coeur.
RépondreSupprimerBien des pensées à vous et tous ceux qui vous entourent.
Robert
Ah cher Frangin !
SupprimerPour ma part, je te remercie de ta fidélité sans faille. Plusieurs amis ainsi que notre mère, m'ont dit être touché par nos échanges et la valeur de nos liens fraternels. C'est vrai que c'est une chance et une richesse sans prix ! Te souviens-tu, que déjà, lorsque j'étais au Mexique dans mes beaucoup plus jeunes années, nous nous écrivions aussi régulièrement ? J'ai gardé bon nombre de tes lettres que j'aime relire de temps en temps; et continuer à te lire me ravis toujours...
Pascal